. Ibidem, Nous traduisons Traduction de Jacques Ancet, « Cimetière du Testaccio », op. cit., p. 35. 19 Ibidem, p. 213. Nous traduisons : « Sur la tombe de Stéphane Mallarmé, Nous traduisons : « L'image des mondes 18 Ibidem, pp.155-194

S. Andrés and L. Robayna, Nous traduisons : « les corps qui avançaient et avançaient, / jusqu'à atteindre le rivage / de l'île entraperçue ce matin-là, Mais tout naissait sur tes bords lumineux, pp.131-133

S. Andrés and . Robayna, Cuaderno de las islas, op. cit., p. 33. Nous traduisons : « la plupart des dieux de l'Olympe sont nés sur des îles ou entretenaient avec elles une étroite relation

S. Andrés and L. Robayna, Nous traduisons : « Personne en toi ne pouvait ni naître ni mourir ». 28 Ibidem, Nous traduisons : « tu avances de même jusqu'à nous ». 29 Ibidem Nous traduisons : « donne-moi l'ultime mystère de l'île méconnue. », pp.113-132

. 62-ibidem, Nous traduisons : « La poésie est souvent une révélation des éléments de l'apparence. ». 63 Edouard, Morot-Sir, op. cit, pp.235-105

S. Andrés and L. Robayna, Nous traduisons : « Ce qui est ouvert ». 65 Ibidem Nous traduisons : « Là où même l'ombre / a de la lumière, / là, l'été / se dit. / Là où l'obscurité / te dit, / ô toi mot, / tu dis encore lumière. / Là où / le corps se trouve / tu dis convocation Sobre una confidencia del mar griego, soleil absolu. ». 66 Andrés, pp.121-163, 2005.

P. Ibidem, Nous traduisons : « Ce que je trouvai fut sa parole, / qui ouvre déjà dans le temps / tout espace, l'ici, tout temps, le maintenant, / dans les îles qui nous attendent

. Ibidem, Nous traduisons : « Ton nom écrit que le hasard / n'abolira pas. ». Néanmoins, en espagnol, la place des syntagmes ne permet pas de discriminer la fonction, ainsi, « el azar » situé avant le verbe pourrait très bien avoir également une fonction de COD, et respecter la répartition première des actants chez Mallarmé : « Ton nom écrit qui n'abolira pas, p.213

. Ibidem, Nous traduisons : « L'autre, désormais inséparable du même, / repose dans ce sol. / L'autre, le même, indéchiffrables codes / unis dans l'éternel. ». 78 Ibidem, Nous traduisons : « les eaux d'une sainte sobriété, pp.217-129

. Ibidem, Nous traduisons : « Peintre, une célébration, / une flamme dans ton objet, / illumine, dans la poussière, / ce qui est indivisible. [?] / Ô corps d'une alliance, / matière qui recrée la matière du monde, / dans ton pigment est célébré ce qui est ouvert. [?] / Peintre, / qui dans la proximité fondes ce qui est ouvert, / qui dans l'éclat d'un verre vois, la ressemblance qui inaugure la forme / au milieu de la lumière en expansion, pp.29-32

. Ibidem, Nous traduisons : « Regarde sur tes mains, sur la page / pas encore écrite les mots les plus pauvres. ». 84 Andrés una confidencia del mar griego, pp.167-191

S. Andrés and . Robayna, José Manuel, Broto, En el centro de un círculo de islas, pp.15-25, 2007.

J. Morales, en-el-centro-de-un-circulo-de-islas Nous traduisons : « la matière de son tracé abstrait acquiert une telle vitalité que chaque dessin semble un être vivant ». 87 Extrait cité par Túa Blesa, en ligne : http://www.elcultural.es

S. Andrés and . Robayna, La sombra y la apariencia, op. cit., p. 215. Nous traduisons : « Cette seule beauté nous aide à vivre

P. Ibidem, Traduction de Jacques Ancet, « Les eaux te répétaient encore / leur parole ignorée. », op. cit, pp.93-67

. Ibidem, Elle tombait du tympan, / dans l'espace / du non-dit, de l'indicible peut-être, / elle tombait, brève / rumeur saline, dans le silence. », ibidem, p. 51. 94 Andrés, Sánchez Robayna, En el cuerpo del mundo Nous traduisons : « Aucune idolâtrie du mot, [?] cependant, c'est le mot poétique qui crée un nouvel état de langage, un lieu d'épiphanie. [?] Le mot semble s'ériger comme un miracle du naissant, Traduction de Jacques Ancet, pp.77-432, 1970.