I. Baron and M. Et-herslund, Support Verb Constructions as Predicate Formation The Structure of the Lexicon in Functional Grammar, pp.100-116, 1998.

I. Baron, Objet effectué et constructions nominales, pp.79-90, 1997.

J. Giry-schneider, Interpr??tation Aspectuelle Des Constructions Verbales ?? Double Analyse, Lingvisticae Investigationes, II : 1, pp.23-54, 1978.
DOI : 10.1075/li.2.1.04gir

J. Giry-schneider, Les nominalisations en français : l'opérateur « faire » dans le lexique, 1978.

J. Giry-schneider, Les prédicats nominaux en français : les phrases simples à verbe support, 1987.

M. Grevisse and A. Et-goosse, Le Bon Usage : grammaire française (13 ème édition, 2004.

M. Gross, Remarques sur la notion d'objet direct en fran??ais, Langue fran??aise, vol.1, issue.1, pp.63-73, 1969.
DOI : 10.3406/lfr.1969.5400

M. Gross, Sur quelques groupes nominaux complexes, Méthodes en grammaire française, pp.97-119, 1976.

M. Herslund, On Valence and Grammatical Relations, Valency. Three Studies on the Linking Power of Verbs (= Copenhagen Studies in Language, CEBAL Series 11), 1988.

M. Herslund, Valence et relations grammaticales, Mélanges Lucien Tesnière, pp.109-117, 1994.

M. Herslund, 2. Valence, pr??dicat, pr??position et la notion d???adjet, La préposition en français II (Modèles linguistiques Toulon : Editions des Dauphins, pp.15-24, 2004.
DOI : 10.4000/ml.568

URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01068432

M. Herslund and F. Et-sørensen, A valence based theory of grammatical relations, Function and Expression in Functional Grammar, 1994.
DOI : 10.1515/9783110872620.81

F. R. Higgins, The Pseudo-Cleft Construction in English, Thèse de doctorat, 1973.

R. S. Kayne, Syntaxe du français : le cycle transformationnel, Paris : Seuil. (Trad. par P. Attal, French Syntax. The Transformational Cycle, 1975.

L. Fauci and N. , Aspects du mouvement de WH, verbes supports, double analyse, complétivers au subjonctif en italien : pour une description compacte, Lingvisticae Investigationes, issue.2, pp.293-341, 1980.

L. Fauci and N. , Le seuil s??mantique, Lexique-grammaire des langues romanes, pp.199-222, 1984.
DOI : 10.1075/lis.9.10fau

L. Fauci, N. Et-mirto, and I. , FARE : elementi di sintassi, 2003.

B. Lamiroy and L. Et-mélis, Les copules ressemblent-elles aux auxiliaires?, Les périphrases verbales, pp.145-170, 2005.
DOI : 10.1075/lis.25.12lam

C. Muller, Les constructions ?? adjectif attribut de l'objet, entre pr??dication seconde et compl??mentation verbale, Langue fran??aise, vol.127, issue.1, pp.21-35, 2000.
DOI : 10.3406/lfr.2000.996

C. Muller, Classes de verbes français transitifs à extension attributive : les opérateurs supplétifs, Langage et référence, mélanges offerts à K. Jonasson à l'occasion de ses soixante ans (Studia Romanica Upsaliensia 63), pp.419-429, 2001.

M. Riegel, L'adjectif attribut, 1985.

M. Riegel, Forme et interprétation des phrases copulatives à deux groupes nominaux défini : asymétrie syntaxique et configuration sémantique, Questions de classification en linguistique : méthodes et description, mélanges offerts au Professeur Christian Molinier, 2005.

M. Riegel, J. Pellat, and R. Et-rioul, Grammaire méthodique du français (quatrième édition entièrement revue), 2009.

S. Baron and . Herslund, le sens est grosso modo celui de « création ») forme avec son « argument fondamental » (qui est un « objet effectué ») une unité que Herslund et Sørensen (1994) appellent « fondement prédicatif ». Selon ces auteurs, l'unité ainsi formée ([V N]) explique l'indépendance du complément prépositionnel. Ils présentent même la généralisation que ce que la littérature appelle « verbe support » est un verbe de création et que ce que la littérature appelle « nom prédicatif » est l'argument fondamental d'un verbe de création, objet effectué, la possibilité de double analyse émane du fait que le verbe Ils précisent aussi que la double analyse ne se produit pas quand les combinaisons verbe-nom ne présentent pas ces caractéristiques, c'est-à-dire quand la combinaison n'est pas formée par un verbe de création et son objet effectué, 1998.

U. Nous-clarifions and . Point, ce qui est spécifique à une construction à verbe support, ce n'est pas la possibilité de la pronominalisation par en en soi d'un complément prépositionnel en de, qu'il soit un complément SHS Web of Conferences 1 (2012) DOI 10, 1051.

L. Fauci, a fait une observation similaire sur une phrase comparable en italien : (i) Max ha fatto (un buon lavoratore di Luca + una reggia di questa casa) (son exemple 91, ii) *Un buon lavoratore di Luca è stato fatto da Max, 1980.

L. Selon and . Fauci, la similarité formelle des constructions (39)-(40) est due « à la confluence des deux opérateurs syntaxiques différents da et di (en italien, TN) dans la même préposition de. » En effet, la phrase du type (39) sera rendue en italien avec la préposition da : (i) Max ha fatto una bella casa, 1980.

. Muller, « opérateur » qui forment une construction à adjectif attribut d'objet direct : opérateurs qui « ne comportent dans leur valence qu'une seule position d'occurrence, occupée par un « nexus » vide, tel que être » et ceux qui « intègrent dans leur sémantisme lexical le « nexus » de la prédication seconde liant objet et attribut ». Le verbe croire dans la phrase on le croyait plus résistant est le premier type d'opérateur et le verbe rendre dans la phrase tu me rends malade est le second type. Ici, 2000.

M. Lamiroy, 151) prennent cette construction qu'ils résument sous le schéma faire SN N pour la construction de base et y associent son emploi passif se faire N. En effet, on peut très bien ajouter à la série de phrases de (41) des constructions pronominales comme, 2005.

L. Dictionnaire-des-verbes-français-de-caput and . Caput, énumère cet emploi parmi les emplois du verbe faire avec la mention suivante : V. + compl. ? attribut du compl. : faire quelqu'un ambassadeur, où on peut lire l'attribution de la fonction grammaticale « attribut du complément ». Le Trésor de la langue française donne la rubrique « Faire qqn + subst. (attribut de l'obj.) non déterminé. », avec la définition « élever au rang de, 1969.

L. Petit-robert and «. Faire-qqn, = rendre », avec des exemples comme suit : « Un héritage les a faits riches Faire la vie dure à qqn. LOC. Faire place nette. Faire table rase. ». Ce sont des exemples plus ou moins figés ou collocationnels, où le paradigme de l'adjectif est assez fermé. 20 A égalité de sens attributif, la construction éclatée dispose donc de plus de possibilités expressives sous formes de diverses expansions nominales, par rapport à la construction à attribut de l'objet direct dont l'attribut se réalise syntaxiquement de façon assez restreinte, sans avoir la possibilité normale d'expansion nominale. Somme toute, c'est une conséquence assez naturelle, vu que le SN direct de la construction éclatée occupe une position syntaxique que doit occuper normalement un syntagme nominal assumant la fonction d'objet direct. Dans cette position de la construction éclatée, il se passe peut-être une sorte de balancement entre forme et fonction, 2012.

. Riegel, Dans ce cas-là, un ami est « le résultat d'une évaluation quantitative, ouvrant « la voie à des rectifications » (ibid.) comme Luc n'a pas un ami mais il en a plusieurs ou Luc n'a aucun ami, p.297, 2009.

P. Van-peteghem and . Qui-reconnaît-le-niveau-d, analyse « profond » des fonctions grammaticales, une phrase spécificationnelle (type (51c)) représente une phrase où le sujet et l'attribut sont inversés à la surface. Tandis que selon Riegel (2005 : 299), une phrase du type (51c) et son correspondant converse représentent chacun une structure sujet-être-attribut : s'il émerge des différences d'interprétations

. Giry-schneider, 193) a brièvement mentionné ce type de paradigme où un syntagme nominal postfaire s'interprète comme un attribut du sujet dans une phrase copulative. Ses exemples sont : Il fera (un bon mari, un excellent avocat) (pour N), Une hirondelle ne fait pas le printemps, 1987.

M. Lamiroy, 150) énumèrent le verbe faire parmi les copules, mais ils ont exclu un syntagme nominal indéfini au profit d'un syntagme nominal défini (Le GN) et d'un nom (N), de la liste des formes possibles de l'attribut se construisant avec faire. Les deux derniers types d'attribut qui se construisent avec le verbe faire sont exemplifiés ici en (66) Ces auteurs notent qu'il existe des restrictions, 2005.

L. Fauci, a brièvement observé la similitude entre deux types de constructions en italien : (i) Max fa Omero cieco (son exemple 114a) (ii) Max fa di Omero un cieco, 1980.

. Ayant-proposé-d, annonce que P par la décomposition en une phrase complexe du type Max a fait qu'une annonce soit et qu'une annonce soit que P, cet auteur propose d'étendre ce type d'analyse aux deux constructions ci-dessus. (i) sera analysable par : (iii) Max fa che la qualità-cieco sia (son exemple x') (iv) Max fa che la qualità-cieco sia a Omero